Les vélos étant de plus en plus difficiles à transporter dans les avions, il ne fait aucun doute que moins ils sont visibles au comptoir d’enregistrement, moins les sillons du front s’ensuivront. Comme son nom l’indique, le Tardis est petit à l’extérieur et grand à l’intérieur, il est donc moins évident qu’un vélo lorsque vous vous précipitez à l’enregistrement.
Le cadre est placé à l’envers, avec la tige de selle et le guidon retirés, le mécanisme arrière collé à l’intérieur des haubans et les deux roues emballées de chaque côté dans des manchons. Cela en soi fournit beaucoup de soutien latéral, bien que pour jouer au mieux à la roulette du bagagiste, vous devriez également le renforcer avec du calorifugeage, des vêtements et du carton d’origine locale.
Avec ses dimensions de 115 x 70 cm, le Tardis est aussi facile à transporter avec sa bandoulière qu’à ranger dans le coffre d’une voiture ou à attacher à une galerie de toit de taxi indien (les porte-bagages et fourches de tourisme sur les cadres de plus de 60 cm devront être retirés). Des entretoises de fourche sont fournies, de grosses fermetures éclair peuvent être verrouillées et il y a des renforts aux bons endroits, avec un rembourrage autour des axes de roue. La vraie beauté, cependant, est sa taille : le sac se replie dans un gros paquet de format A4, ne pesant que 1,6 kg, et peut être facilement rangé dans une sacoche ou posté à l’avance pour la fin d’un tour.